ARCCIS : Association pour le rayonnement de la culture cistercienne

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Menu

Résultats de recherche

Il y a 73 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Filtrer les résultats
Type d'élément






Éléments créés depuis



Trier par pertinence · date (le plus récent en premier) · alphabétiquement

L’anachorèse au cours des temps (5)

Christophe VUILLAUME, osb (Collectanea Cisterciensia N°79-2017). Les XVIIe-XVIIIe siècles voient, pour une large part, le mouvement de décadence se poursuivre et s’accentuer. Il aboutira en France d’abord au regroupement d’un grand nombre d’ordres monastiques, avant la suppression des vœux de religion par la Révolution. Néanmoins, dans ce sombre tableau, plusieurs efforts de réforme se font jour, souvent avec un réel et large succès. Comme on va le voir, le premier mouvement est toujours de revenir aux sources de la vie monastique, donc à son principe même qu’est l’anachorèse.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L’anachorèse au cours des temps (6)

Christophe VUILLAUME, osb (Collectanea Cisterciensia N°80-2018). Comme on l’a déjà relevé pour Dom de Lestrange, les moines du XIXe siècle, avec la majorité de leurs contemporains catholiques, perçoivent la société comme profondément perturbée par les événements de la fin du siècle précédent : Révolution, Empire, effondrement de la France, persécutions, mentalité issue des Lumières. Sur une population de 30 millions de Français (vers 1815), on estime les non-catholiques à 560 000 seulement, mais la pratique reste faible. D’après le nonce Macchi, « plus que la moitié des catholiques sont dans l’ignorance des devoirs du chrétien et plongés dans l’indifférence ».

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L’anachorèse au cours des temps (7)

Christophe VUILLAUME, osb (Collectanea Cisterciensia N°80-2018). XXe siècle. Débutons cette fois par l’enseignement du Magistère qui reflète assez bien, pensons-nous, l’évolution de la mentalité catholique tout au long du siècle passé. Le Magistère témoigne d’une compréhension certaine de la place que doivent tenir les contemplatifs dans la vie de l’Église comme dans sa mission. Dans sa constitution apostolique Umbratilem (1924), Pie XI rappelle aux chartreux et à tous ceux « qui font profession de mener une vie de solitude, loin des fracas et des folies du monde », qu’ils participent de façon authentique et même essentielle à l’apostolat de tous les chrétiens. Au milieu du corps ecclésial, les moines reçoivent comme « leur affaire principale de s’offrir et de se vouer à Dieu, en vertu d’une fonction pour ainsi dire officielle, comme victimes et hosties de propitiation, pour leur salut et celui du prochain ».

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

La liturgie formatrice du moine (2)

Dom Marie-Gérard DUBOIS, ocso (Collectanea Cisterciensia N°69-2007). Le moine est un croyant qui cherche Dieu, comme tout croyant devrait le faire, dans la foi, l’espérance et la charité, recherche qui se concrétise dans la prière et dans l’ensemble de la vie spirituelle. En quoi la liturgie m’aide-t-elle et me forme-t-elle dans cette perspective?

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

La liturgie formatrice du moine (3)

Dom Marie-Gérard DUBOIS, ocso (Collectanea Cisterciensia N°69-2007). Pour Jacques et Raïssa Maritain, tous sont appelés à une certaine contemplation infuse, c’est-à-dire à vivre sous la mouvance des dons de l’Esprit-Saint, contemplation qui peut prendre différentes formes, parfois masquées ou diffuses.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

Le combat spirituel. "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive" (3)

Adalberto PIOVANO, osb (Collectanea Cisterciensia N°78-2016). D’après ce que nous avons dit jusqu’ici, il est évident que, pour la tradition monastique, l’ascèse, dans sa relation au corps et au cœur, est profondément orientée vers une pleine maturité spirituelle. Grâce à un exercice discipliné de toutes les composantes de la personnalité, se réalise cet état existentiel qu’est la vigilance. C’est justement la vigilance (le fruit d’une ascèse du cœur et du corps) qui permet de préserver sa vie de ces réalités ambiguës qui s’en prennent à nos désirs les plus authentiques (les pensées, logismoi) et qui favorisent cette idolâtrie de soi qui est la racine de tout péché.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L'anthropologie volontariste de Bernard de Clairvaux

Damien BOQUET - Le libre arbitre comme image de Dieu - "Le libre arbitre semble être rabaissé au rang de simple illusion, comme si Bernard voulait commencer par dégriser son lecteur. Or, à quoi sert-il de disserter sur la nature du libre arbitre, s’il n’est qu’un fantasme ?

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

Le combat spirituel. "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive" (2)

Adalberto PIOVANO, osb (Collectanea Cisterciensia N°78-2016). La profondeur du lieu où se déroule cette lutte, le cœur, et la totalité des forces qu’elle implique permettent à "l’ennemi" de cacher sa dangerosité sous un écran d’ambiguïté : il agit de façon sournoise, pénétrant avec beaucoup de précaution et de circonspection, ce qui rend difficile le discernement. Pour cela, il se revêt toujours d’une apparence de vérité, de bonté, de beauté, de fascination, pour cacher son mensonge radical. "Accroupi à la porte" du cœur, il réussit à se dissimuler dans ses replis les plus cachés, pour se présenter à nouveau au moment opportun.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles