ARCCIS : Association pour le rayonnement de la culture cistercienne

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Lettre de vocation: le charisme de la vie cistercienne. Une lecture de la lettre 107 de saint Bernard

Soeur Maria Francesca RIGHI, ocso (Collectanea Cisterciensia N°68-2006). Ô Seigneur, qu’est-ce que l’homme, pour que tu te sois fais connaître à lui? ou le fils de l’homme pour que tu l’estimes tant? Désormais, ô Père très bon, ce très vil vermisseau, qui ne méritait vraiment qu’une haine éternelle, est toutefois confiant d’être aimé parce qu’il a conscience d’aimer...

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La tunique sans couture -Symbole de l'unité de l'Eglise

La tunique sans couture de Jésus, tirée au sort pour ne pas être déchirée, a été regardée comme un symbole de l’unité de l’Église. À l’origine de cette tradition se trouve, bien sûr, l’évangile johannique ; puis certains Pères de l’Église ont interprété de cette manière l’épisode relaté par saint Jean ; enfin saint Bernard s’en est servi dans plusieurs de ses écrits.

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Les monastères et la mission de l’Église en terre d'Europe aujourd'hui

Bernard POUPARD, osb (Collectanea Cisterciensia N°73-2011). Tout au long du siècle dernier, et particulièrement dans sa seconde moitié, les monastères d’Europe, tant bénédictins que cisterciens, ont entrepris des fondations en Afrique, en Amérique latine et en Asie, répondant ainsi à l’appel du Saint-Siège pour l’implantation de la vie monastique dans les jeunes Églises. Cet engagement assez considérable a coûté beaucoup de sacrifices aux monastères fondateurs et aussi beaucoup d’argent. En plusieurs régions, ces fondations se sont bien développées et ont trouvé leur place dans les Églises locales.

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Les monastères à l’épreuve de la fragilité

Bernard POUPARD, osb (Collectanea Cisterciensia N°71-2009). C’est devenu un aphorisme: on ne reste pas dans la vie monastique pour les raisons pour lesquelles on y est entré. Le discernement qui devrait être mis en œuvre pour vérifier le sens et la validité de la démarche d’un impétrant, si nécessaire et difficile soit-il, ne constitue pas une garantie pour la suite du parcours. Non seulement chacun sera soumis aux aléas de son cheminement personnel, qui nécessiteront encore un discernement sans cesse poursuivi, mais la communauté elle-même évolue et le monde change plus que jamais.

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La flamme de la charité

Mauro-Giuseppe LEPORI, o.cist. (Collectanea Cisterciensia N°81-2019). Lettre de Pentecôte 2019. Chers frères et sœurs, Il y a 900 ans, nos premiers Pères cisterciens avec leurs communautés ont fait approuver par le pape Calixte II un texte pour animer les relations entre les monastères, comme la règle de saint Benoît anime les relations entre les membres de chaque communauté. Ils ont appelé ce texte Carta caritatis – Charte de charité, précisément pour que ce document permette à la famille monastique naissante de Cîteaux de grandir dans la communion fraternelle, et donc de refléter, dans l’Église et dans le monde, la lumière divine de l’amour trinitaire.

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L’art des relations fraternelles dans la tradition monastique (3)

Adalberto PIOVANO, osb (Collectanea Cisterciensia N°81-2019). Dans le texte de Bonhoeffer cité ci-dessus, une dimension importante de la communauté chrétienne est soulignée : elle est une réalité pneumatique et non psychique. Le rapport de ces deux dimensions entre inévitablement en jeu dans les relations interpersonnelles, et les obstacles aux relations naissent précisément quand cette dimension « pneumatique » n’est pas suffisamment devenue consciente dans une communauté, et que, par suite, les relations sont gérées sur un mode « psychique ».

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Être, c'est donc aimer. L'amour fraternel chez Jean de Forde

Rebekka WILLEKES, ocso (Collectanea Cisterciensia N°70-2008). Dans les commentaires du Moyen Âge sur le Cantique des cantiques, ce dernier est lu comme l'histoire de l'amour entre Dieu et l'âme ou entre le Christ et l'Église. Même si, à la lettre, il semble traiter de l'amour entre l'homme et la femme, sa véritable signification doit être cherchée dans une interprétation spirituelle. Cela signifie-t-il alors que l'amour humain y soit absent?

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Les péchés capitaux et le monde monastique cistercien

Éric DELAISSÉ (Collectanea Cisterciensia N°70-2008). Les péchés capitaux ont eu une influence sur le comportement d’innombrables hommes et femmes du Moyen Âge. Ils constituaient d’ailleurs le système le plus efficace et le plus répandu pour classifier les péchés. Si la doctrine des péchés capitaux s’est rapidement appliquée à l’ensemble des fidèles, elle est pourtant d’origine monastique.

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Charisme cistercien

Hildegard BREM, o. cist. (Collectanea Cisterciensia N°70-2008). Invitée à décrire le charisme cistercien tel que nous le vivons dans l’ordre de Cîteaux en pays germanophones, je commence par un aperçu sur les congrégations germanophones et les monastères qui en sont membres. Le monde cistercien germanophone d’aujourd’hui est le résultat d’une longue histoire ayant connu beaucoup d’évènements douloureux; dans un monde qui change il persiste pourtant à mener la vie cistercienne.

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« Un cœur compliqué et malade » (2). Souffrance psychique et vie communautaire

Jean-Marie GUEULLETTE, op (Collectanea Cisterciensia N°77-2015). Quelques discussions suscitées par un premier article sur la nécessité de s’abstenir, au sein d’une communauté, de porter les uns sur les autres des diagnostics psychiatriques m’amènent à poursuivre ici la réflexion. La question qui m’a été plusieurs fois posée en milieu monastique, à la suite de cette publication, porte, en effet, sur les formes de prise en charge des frères et des sœurs porteurs de pathologies psychiatriques plus ou moins avérées. Il ne faudrait, en effet, pas confondre le fait de ne pas porter de diagnostic en dehors d’une relation thérapeutique avec une forme de déni consistant à refuser de voir les difficultés rencontrées dans la vie commune. S’abstenir d’énoncer un diagnostic ne signifie pas que l’on refuse de voir les difficultés.

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