ARCCIS : Association pour le rayonnement de la culture cistercienne

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Le "repos" cistercien d'après le bienheureux Guerric d'Igny

Soeur Maria Magdalena AUST, ocso (Collectanea Cisterciensia N°69-2007). « En tout j’ai cherché le repos, même dans le travail » 1. Marie, notre modèle a « choisi la meilleure part » L’Assomption de Marie est la fête patronale de notre Ordre, donc notre plus grande fête. Pourquoi ? Nous voyons notre but en Marie, la première rachetée pleinement, accueillie au ciel en son âme et en son corps. En elle nous pouvons découvrir vers où doit tendre toute notre vie...

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Le cloître des ombres

A travers ce livre, Jean-Claude Schmitt donne une analyse du "Livre des révélations" du cistercien Richalm de Schöntal (XIIIe siècle). L'ouvrage, publié aux éditions Gallimard, offre également la traduction française de l’œuvre médiévale.

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Le combat spirituel. "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive" (1)

Adalberto PIOVANO, osb (Collectanea Cisterciensia N°78-2016). Il n’est certes pas facile de réfléchir sur un thème comme le combat spirituel et d’essayer de le proposer aux croyants d’aujourd’hui; on éprouve comme un malaise quand on aborde un aspect de l’expérience chrétienne qui utilise un langage aussi éloigné d’un certain climat spirituel qui caractérise bien des niveaux de notre contexte ecclésial actuel. D’où provient ce malaise? Pourquoi cette suspicion devant un thème comme celui-ci ? Une représentation "dramatique" de la vie spirituelle peut-elle encore trouver place dans un christianisme enthousiaste et un peu idéologique? Brièvement, nous pouvons identifier quelques causes de ce malaise; elles mettent en évidence, à contre-jour, l’importance et la nécessité de refonder un certain langage relatif à la vie spirituelle par un retour à sa matrice biblico-patristique.

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Le combat spirituel. "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive" (2)

Adalberto PIOVANO, osb (Collectanea Cisterciensia N°78-2016). La profondeur du lieu où se déroule cette lutte, le cœur, et la totalité des forces qu’elle implique permettent à "l’ennemi" de cacher sa dangerosité sous un écran d’ambiguïté : il agit de façon sournoise, pénétrant avec beaucoup de précaution et de circonspection, ce qui rend difficile le discernement. Pour cela, il se revêt toujours d’une apparence de vérité, de bonté, de beauté, de fascination, pour cacher son mensonge radical. "Accroupi à la porte" du cœur, il réussit à se dissimuler dans ses replis les plus cachés, pour se présenter à nouveau au moment opportun.

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Le combat spirituel. "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive" (3)

Adalberto PIOVANO, osb (Collectanea Cisterciensia N°78-2016). D’après ce que nous avons dit jusqu’ici, il est évident que, pour la tradition monastique, l’ascèse, dans sa relation au corps et au cœur, est profondément orientée vers une pleine maturité spirituelle. Grâce à un exercice discipliné de toutes les composantes de la personnalité, se réalise cet état existentiel qu’est la vigilance. C’est justement la vigilance (le fruit d’une ascèse du cœur et du corps) qui permet de préserver sa vie de ces réalités ambiguës qui s’en prennent à nos désirs les plus authentiques (les pensées, logismoi) et qui favorisent cette idolâtrie de soi qui est la racine de tout péché.

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Le crâne de Dom Jean-Baptiste Desnoyers à l’abbaye de Cîteaux

Dom Jean-Baptiste Desnoyers (1768-1849) est une figure peu connue de l'histoire cistercienne durant la Révolution et l'Empire. Entré à La Trappe, il est profès de la Val-Sainte et participe successivement à la fondation de Westmalle (Belgique), Lulworth et Stapehill (Angleterre). Rentré sur le continent, il prend en charge d'autres communautés, notamment de carmélites. Son crâne était conservé à l'abbaye de Melleray - fondée par les moines de Lulworth - jusqu'à la reprise de cette maison par une communauté du Chemin Neuf. Il est aujourd'hui à l'abbaye de Cîteaux, tout comme une partie des reliques et de la bibliothèque monastique.

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Le développement dynamique du charisme bénédictin

Frère Michael CASEY, ocso (Collectanea Cisterciensia N°69-2007). Dans de nombreux monastères avant le Concile Vatican II, on pouvait trouver un roman pieux intitulé 'Le retour de frère Petroc'. C’est l’histoire d’un moine du Moyen Âge qui est enterré alors qu’il est dans le coma. Il reprend connaissance plusieurs siècles plus tard, au milieu du vingtième siècle. Rejoignant ses frères bénédictins, frère Petroc reprend son œuvre là où il l’avait laissée, nullement affecté par les changements sociaux et technologiques du «°monde°».

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